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[Test] Papier Mario : Sticker Star

[Test] Papier Mario : Sticker Star
Editeur/Développeur Intelligent Systems
Date de sortie 12/07/2012
Plateformes 3DS
Genre Plateforme
Classification Déconseillé aux moins de 3 ans
Testé par Kasilla

Note

Total average

4/5

Histoire / Ambiance
Immersion / Gameplay
Intérêt / Durée de vie

Ce que j'en pense



Même si notre cher plombier moustachu traîne ses guêtres depuis pas mal de temps maintenant, sa 1ere apparition en version ‘recyclable’ n’apparut qu’en 2001, sur Nintendo 64. Dès le premier essai, l’alliance entre la figure de proue de Nintendo et un gameplay ultra original permirent un succès immédiat. Il fut donc naturellement suivi par un épisode sur GameCube en 2004 – Paper Mario : La Porte Millénaire – puis sur Wii en 2007 avec Super Paper Mario.


C’est donc la 4e apparition de notre héros en version ultra-plate et cette fois encore c’est une réussite ! Le concept reste celui qui avait fait son succès : un RPG-plateforme à l’esthétisme carte postale en 3D (où ces livres pour enfants qui lorsqu’on les ouvrent forment un décors en relief) mais avec en plus un nouveau concept très sympa : les stickers ! Toujours aussi peu de scénario, mais est-ce que c’est vraiment ça qu’on attend d’un Mario ?

Tiens, un escalier de Toad… bien pratique !



Pour faire court, Bowser a encore foutu le dawa et piqué les auto-collants royaux ET la princesse (oui encore !) au passage. Histoire de baliser sa retraite, il a joué les scotcheurs fous partout dans les parages (condamnant des portes ou pliant des ponts les rendant impraticables) et confié les stickers royaux à ses sous-fifres. Mais pas de panique, ils sont toujours aussi bêtes est prévisibles qu’avant ;)

 

Trop de stickers et jamais assez de pages !

Ce Paper Mario : Sticker Star est plus proche de l’épisode sur GameCube que de celui sur Wii, dans le sens où le côté RPG prédomine et où celui plateformes n’est qu’un prétexte à l’exploration des maps en cartons recyclé. En effet, on retrouve les combats au tour par tour, sauf qu’ici on joue des stickers ‘à usage unique’.

Chaque autocollant (trouvé, décollé, gagné ou acheté) symbolise une arme (comme un marteau ou un shuriken) ou un accessoire (un champignon, un aspirateur…) et à chaque tour vous devez décider le(s)quel(s) vous aller sacrifier… uber bio-dégradable dis donc !

Par contre, ne vous attendez pas non plus à un jeu de rôle tel que vous le concevez. Ici, c’est de l’ultra simplifié : lorsque vous vous cognez contre un ennemi, vous entrez en mode combat et chaque camp effectue son attaque quand arrive son tour.

Sauf que là, vos choix d’attaques seront assez limités : 1 à 3 stickers à choisir par tour (si vous avez eux de la chance à la machine à sous !), vous ne choisissez pas l’ennemie ciblé… ça ne va pas beaucoup plus loin ! Ah si, certains stickers sont plus rares que d’autres, leur dégât et leur utilité sont donc en fonction de leur rareté. Un peu à part, les ‘trucs’ et les éléments de ‘récup’ : des objets encore plus rares qui pourront parfois vous sortir des ennuis.

Allez, on recolle le pont ! Elle est où la UHU ?



L’humour habituel de la saga Mario fait ici le tour complet de tous les clichés et codes du papier, du carton et de tout ce qui est plat et froissable : certains jeux de mots sont d’ailleurs désopilants (« Je me sens froissé », « Décollons d’ici ! » « Plions bagages ! »…). Le concept est poussé très loin puisqu’on peut (dé)froisser des personnages, décoller des éléments de décors ou effectuer des pliages pour avancer.



Chaque niveau a son ambiance (plaine, désert, forêt, mer…) et comme dans beaucoup de ‘Marios’ il y a souvent plusieurs chemins d’explorations et des tonnes de passages secrets. Pour finir un niveau et débloquer le chemin vers le suivant, il faut ‘simplement’ dénicher la ou les étoiles qui y sont cachés. Quoique, parfois elles ne sont même pas cachées, elles sont juste impossible à récupérer comme ça, il va falloir débloquer des passages et faire tours et détours pour enfin y accéder.

 

Mario : « T’as pas un truc intelligent à dire là ? »



Tout le long de votre périple, vous croiserez des Toad mis à mal par les Koopa et autres sbires de Bowser. La plupart du temps c’est vous qui leur sauverez la mise, mais quelque fois leur aide sera précieuse. Alors même si c’est parfois long et chiant, quand vous êtes bloqué, tenté de discuter avec ceux qui sont aux abords (ou avec votre compagne d’infortune, une espèce de petite couronne avec des yeux… mais elle n’aide pas beaucoup et est assez insupportable ^^’).

En somme, Paper Mario : Sticker Star est non seulement un bon jeu de rôle-plateforme, un bon Mario mais surtout un jeu très original et prenant ! Pour les fans d’exploration, de collecte et les joueurs patients (certains passages sont parfois ardus), dès 8-10 ans. Bon je vous laisse, je ne suis pas certaine d’avoir découvert TOUS les passages secrets :D

Les Plus :
- Bin c’est un Mario ^^
- Super ambiance, bon humour
- Bonne durée de vie, des tas de trucs à dénicher
- Dur

Les Moins :
- Le côté RPG est vraiment léger
- L’album pour collecter les stickers est TROP PETIT >_<
- Dur (oui je sais, je l’ai aussi mis en « plus » ; )

admin

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