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[Test] Borderlands 2
Un poil plus d’un an après le dernier DLC de Borderlands 1 :
« La révolution des Clap-Traps », voilà que 2KGames nous régale avec Borderlands 2.
Petite musique d’ambiance pour lire cet article
http://www.youtube.com/watch?v=l6eSksEp27U
Vous en avez certainement déjà entendu parler à droite à gauche sur les Internets, au travers de nombreux tests tous plus identiques les uns que les autres. Il se peut même que vous ayez vous-même parcouru Pandore une nouvelle fois, et ce afin de stopper le Beau Jack dans sa folie follement folle et meurtrière (notez l’emphase discrète).
Dans la peau d’un des 5 nouveaux chasseurs de l’Arche, vous avez arrosé le sol arride de Pandore avec le sang de tous les bandits qui se sont mis sur votre chemin. Vous avez amassé une telle collection d’armes que le trône de Game of Thrones à côté, c’est une chaise Ikea. Tout ça pour quoi ? Pour avoir la chance de jouer à l’un des rares titres qui possèdent encore la particularité de s’attarder sur ce qui fait d’un jeu un bon jeu : le souci et l’amour du détail.
Sain de corps et d’esprit… ou pas.
Fin juillet, je vous avais parlé une première fois de Borderlands 2 suite à une preview d’une heure en compagnie des développeurs. Si une heure de jeu est bien trop courte pour juger du fond d’un JV, la forme était bien là. C’était suffisant pour juger Borderlands 2 sur son aspect technique et sur ses mécanismes.
Gearbox a su imaginer de nombreuses régions bien différentes les unes des autres, afin de plonger le joueur dans un voyage initiatique constant. Alors que le 1er Borderlands vous faisaient découvrir de la terre, de la roche puis encore de la terre, sa suite vous emmènera gravir des monts enneigés, descendre des glaciers, parcourir des cavernes envahies par l’acide, saboter des usines de robots Hyperion, et même infiltrer un zoo digne de Jurassic Park ! De quoi dépayser le joueur et rompre la monotonie qu’inspiraient les décors de Borderlands 1. Ma préférence va à la région de Eridium Blight, au relief montagneux torturé et chaotique, illuminé par l’incandescence de la lave en fusion s’échappant des volcans.
Quant à la musique, j’avoue avoir baissé son volume car elle est bien trop présente de base. Cependant, les thèmes sont très bien composés et s’accordent parfaitement avec le lieu qu’elles accompagnent, en toute discrétion (une fois le volume à 6 ). On retrouve cet esprit un peu « folk », restituant une ambiance un peu cowboy. D’ailleurs, en parlant vieilles pétoires, quelle surprise que de constater que même sur des planètes lointaines, le modèle du pionnier du Far West est un passage obligé dans l’évolution de la civilisation. Ne soyez donc pas étonnés quand vous entendrez les balles fuser et se loger dans les constructions en bois lorsque vous entrerez à Lynchwood, ville de cowboys et d’exploitation minière à l’ancienne.
Bref, on se retrouve avec du Borderlands 1 surboosté façon badass ! Mais là où les développeurs ont été malins, c’est qu’ils savaient que proposer seulement une heure de preview aux journalistes, c’était laisser la vraie surprise intacte.

Il se passe toujours quelque chose à Sanctuary. Ici, des règlements de comptes.
Wiki de la pop-culture
Certains ont critiqué Borderlands 2 comme une grosse extension de Borderlands 1er du nom. L’univers est le même, le gameplay n’a pratiquement pas changé, et graphiquement, c’est pratiquement kif kif bourricot. Mais accuser Borderlands 2 de n’être qu’un gros DLC est tout de même un peu sévère.
Ce serait oublier ce qui fait la force d’un bon jeu vidéo : son contenu.
Il y a deux façons de parcourir Borderlands 2. La 1ère consiste à rusher l’histoire en suivant votre boussole sans la quitter des yeux, si ce n’est pour comparer de temps en temps les stats des armes lootées entre deux séances de démembrement. Au bout d’une 20aine d’heures, vous avez tué le grand méchant, et avez sauvé le monde. Félicitations ! Mais voilà, vous n’avez pas pu déceler la vraie subtilité de ce jeu : la 2ème façon de visiter Pandore.
Si dans la forme on a vu que Borderlands 2 reprenait les ingrédients de son grand frère, et nous proposait à nouveau ce mix entre FPS et Hack and Slash propre à la série, tout en exacerbant ce qui en a fait le succès, le vrai plaisir de Borderlands 2 est le suivant : C’EST UNE PUTAIN DE MINE D’OR DE RÉFÉRENCES !!!!11!!

Why so serious ?
Du début à la fin, il ne s’est pas déroulé plus de 5 minutes entre chaque clin d’œil ou easter egg. Le pire étant que j’ai dû en rater pas mal. Les développeurs ont certainement réussi à caser au moins 30 ans de pop-culture disséminés dans les nombreux et variés territoires de Pandore. Vous avez 25 ans, et avez ri comme jamais devant le Roi Lion avec Timon et Pumba ? Borderlands 2 vous propose de zigouiller Pimon et Tumba, reniant ainsi votre jeunesse.
Vous détestez les héros en collant ? Parfait, faites-le savoir à Rakkman, illuminé vêtu d’une cape de Rakk (un grand piaf/chauve-souris). Jusque là, ça va, le voyant NERD reste vert. Pareil quand vous attaquez un grand gorille nommé Donkey Mong, et que ce dernier vous balance des tonneaux en attendant que vous ne lui piquiez sa cravate.
Mais quand un des PNJ vous dit de faire exploser un truc en vous en éloignant avec un air over badass sans regarder l’explosion, et que vous avez reconnu ce clip de Lonely Island, vous commencez à faire briller le voyant nerd. Et que dire quand un personnage du nom de Robb hurle dans votre système ECHO qu’un Skag géant est en train de le dévorer, et que vous reconnaissez direct l’allusion à Game of Thrones, là, je vous tire mon chapeau. Je ne vous parle pas plus des références au film Se7en, aux Tortues Ninjas, à Skyrim, Breaking Bad, Blanche-Neige, Minecraft ou même X-com (corporate les gars ).

Alors, la référence ?

Bioshock, bien sûr !
Alors oui je sais, des easter eggs, tout le monde en fait maintenant. Mais à quel moment avez-vous perdu le goût de vous perdre dans un jeu et de vous y balader vraiment ? Combien d’entre vous ont pris le temps de regarder le tapis chez Marcus par exemple ?

Ce tapis reviendra dans le DLC du Captain Scarlett.
God is in the details
Avez-vous profité de tous ces détails que vous offraient les développeurs ? Pensez-vous que les UI artists passent leur temps à jouer au baby-foot, ou bien avez-vous su regarder autour de vous pour voir le fruit de leur travail ?
Récemment, Dishonored était loué par la critique et par les joueurs pour avoir réussi à introduire un personnage particulier dans son aventure : la ville de Dunwall. « Personnage à part » mais tout aussi vivant que les vrais PNJ. Or, une ville animée et dynamique est tout ce qui fait la différence dans un jeu « ouvert » comme GTA, Fallout ou Borderlands. Les PNJ que vous croisez semblent avoir une vie en dehors de votre présence et vaquent à leurs occupations.

Sanctuary, une ville vivante où la surprise se trouve à chaque coin de rue.
Sanctuary, ville refuge de Pandore, parvient à relever le challenge. Alors certes, le Beau Jack mène la vie dure aux habitants, si bien que l’ambiance est un peu austère. Certains se réfugient dans la boisson et dorment près des ordures, d’autres préfèrent oublier leurs problèmes dans le bar de la très libérée Moxxi. D’autres tambourinent à une porte pas loin du kiosque qui vous propose des ECHO avec les dernières nouvelles de Pandore. Le background du jeu est vraiment très étoffé et vous donnera l’illusion de vous trouver ailleurs que dans un amas de pixels. D’ailleurs, le nombre incroyable de quêtes secondaires réalisables sur place vous fera découvrir la vie et l’animation qui y règnent en parallèle de vos actions.

Une quête très... surprenante

Décidément, quelle coquine cette Moxxi !
Teasing subtil
Mais au delà de tout ce mouvement, les décors statiques insufflent encore un peu plus de vie dans la ville de Sanctuary. Vous aurez l’occasion de croiser, de regarder, de lire, voire de déchiffrer de nombreuses affiches et posters. Cela va de la simple affiche de propagande pour s’engager dans la troupe des Pillards Écarlates menés par Roland (un des 4 persos de Borderlands 1), à un poster dédicacé de Clap-Trap en bikini. Mais si vous êtes attentifs, vous pourrez également voir un poster de propagande pour Hyperion, la société du Beau Jack, avec ce dernier parodié en pirate. EN PIRATE ! Vous aussi vous ouvrez de grands yeux ronds pour hurler : « Mais le 1er DLC de Borderlands 2, c’est pas avec des pirates justement ??!!!11″. Et si.

Jack le pirate. Comme si Jack était un nom de pirate haha !
À croire que les développeurs aiment taquiner leurs joueurs en leur mettant sous le nez des informations exclusives, et qu’il suffit juste d’ouvrir un peu les yeux pour les découvrir. Une manière de récompenser ceux qui profitent réellement du jeu. Mais alors, on est en droit de se demander si ce que l’on voit sur les autres affiches comporte également des indices pour du contenu futur. Par exemple, qui est ce Rich Fleider, cet homme au chapeau haut-de-forme et aux lunettes rondes, acclamé pour « reconstruire » ? Futur DLC ? Ou simple Private Joke entre développeurs, puisqu’il s’agit du nom d’un des Outsourcing Producer, chargé du process de la création visuelle du jeu? (Il se pourrait que ce soit lui, not sure :p)

Notez le poster Clap-Trap en bikini dédicacé
Bref, je ne regrette à aucun instant d’avoir pré-commandé Borderlands 2. Surtout que cet achat était motivé par le fait que j’ai l’habitude d’y jouer avec un ami via le xbox live, ce qui révèle toute la saveur de ce titre. Car bien que le jeu déborde d’humour (noir) comme je l’aime et le pratique au quotidien, c’est quand on rit avec un ami qu’on en profite le plus. Surtout que les classes de persos se complètent pas trop mal et donnent un véritable sens au mode multijoueur, qui n’est pas là juste pour faire joli sur le papier comme dans beaucoup d’autres titres actuels.

La coopération, ce qui vous sauvera plus d'une fois de la mort.
La qualité de Borderlands, c’est également des DLC pas-foutage-de-gueule comme on en a hélas désormais l’habitude. Le 1er Borderlands proposait des extensions aussi fournies que variées. Que ce soit une simple arène de combat (Émeute dans l’Underdome de Mad Moxxi), ou bien de vraies histoires (The Zombie Island of Dr. Ned, L’Armurerie Secrète du Général Knoxx, Claptrap’s New Robot Revolution), on en avait (à peu près) pour son argent. Rebelote pour ce second opus qui nous propose d’ores et déjà à l’heure où j’écris ces lignes deux DLC.

Décidément, Gearbox aime beaucoup les rousses.
- Le 1er DLC vous propose une 5ème classe de personnage : Gaige, la Mechromancer, jeune cyborg rouquine accompagnée de son fidèle robot Deathtrap. Mais il vous proposera également un duo d’armes Gearbox pour débuter, ainsi qu’une clé unique pour ouvrir un coffre d’arme légendaire. (À n’ouvrir qu’à haut level pour vraiment en profiter !). Un DLC un peu trop light à mon goût, qui se limite juste à ne proposer qu’un nouveau personnage.
- En revanche le 2nd DLC m’a vraiment beaucoup plu ! Et… je vous retrouve prochainement dans un autre article pour vous parler de CAPTAIN SCARLETT AND HER PIRATE’S BOOTY !
Borderlands 2 ? Un jeu de caractères !
Pour résumer un peu mon ressenti, je dirai que Borderlands 2 est une pépite d’or cachée sous une couche d’argile informe. Il faut prendre le temps de savoir ce que l’on a en main pour en retirer sa vraie valeur, chose que peu de gens feront, au détriment de tout l’investissement des développeurs de Gearbox. Suite logique de Borderlands 1, ne vous attendez pas à une révolution technique. En revanche, la base du jeu étant déjà là, les développeurs ont pu se pencher plus sérieusement sur tous les détails, que ce soit au niveau des quêtes ou du décor, pour véritablement insuffler la vie à Pandore. Et rien que pour ça, je les en remercie.
Je les remercie également pour avoir autant mis en avant les personnages féminins. Je n’ai pas vraiment souvenir des femmes présentes dans le 1er, si ce n’est Moxxi (bizarrement haha), mais on peut dire qu’on est gâtés dans Borderlands 2. Entre Lilith la sirène aussi redoutable que jolie, Ellie la mécano qui en a gros, Tiny Tina la gamine explosive, Tannis la scientifique folle, la sexy et lascive Moxxi le retour, ou encore la Sheriff hargneuse et hystérique de Lynchwood. Femmes de caractères, elle sauront vous marquer chacune avec le charme qui leur est propre. Même si je vous avoue que parfois, Tiny Tina fait carrément peur du haut de ses 13 ans. Faudrait qu’elle songe à arrêter les boissons énergisantes.
Mais d’un autre côté, quand on voit le charisme d’huître dont fait preuve le personnage de Zer0, pas étonnant que les persos féminins ressortent autant. Heureusement, Clap-Trap est là, fidèle au poste, pour rattraper le coche

Elle respire la classe la Sheriff non ? Mais elle est prise
Les Plus :
- L’humour <3
- Le contenu « caché » incroyable.
- La durée de vie totale (50h).
Les Moins :
- Les textures qui ne chargent pas assez vite (sur x360).
- Certaines zones un peu trop désertes, et obligé de se balader à pied.
- Quelques bugs subsistent. (Frustrant de mourir coincé par un caillou sans possibilité d’obtenir un « second souffle ».)
Les Infos :
- Développeur : Gearbox Software
- Genre : FPS Hack and Slash Post-Apo
- Sortie France : 21 septembre 2012
- Plateformes : X360, PS3, PC
- Prix : À partir de 40€
Note Globale : 17/20
/! JEU CONCOURS /!
Arrive LE moment que tout le monde attend sans le savoir : le jeu concours !
2KGames nous permet d’offrir à l’un(e) d’entre vous un jeu de cartes tiré de l’univers flinguesque de Borderlands 2. Comme vous le savez, les armes du jeu sont fabriquées par 8 marques différentes, chacune mettant en avant des spécificités qui lui sont propres. Les armes Maliwan apporteront des dégâts élémentaires, tandis que les armes Tediore exploseront comme des grenades au moment du rechargement. Utile pour achever un ennemi une fois le chargeur vide. À moins que vous ne soyez un cowboy à l’ancienne, et dans ce cas, les armes Jacobs vous plairont avec leur côté vintage.
Le jeu de cartes fonctionne de manière simple : un joueur choisit une des caractéristiques d’arme de la carte du dessus de son paquet, et l’annonce, pour la comparer à la valeur de la même caractéristique sur les cartes des adversaires. Celui dont la valeur est la plus élevée remporte toutes les cartes de ce tour. Une manière ludique et maline d’apprendre les spécificités des différents constructeurs d’armes. En effet, si vous piochez une carte Maliwan, il y a de grandes chances de remporter le tour en pariant sur la valeur de dégâts élémentaires. Mais si jamais vous piochez un lance-roquettes, choisissez plutôt les dégâts bruts. Et si jamais c’est un fusil de sniper et bien… Je vous laisse deviner
Pour remporter ce jeu de carte, il vous suffit de me raconter dans les commentaires ce que vous avez préféré dans Borderlands 2. Que ce soit le nom choisi par Beau Jack pour son poney en diamant, ou bien les monstres tout droit sortis de Minecraft, il y a bien une chose qui vous a fait rire plus que tout le reste. Racontez-la-moi, et je tirerai un commentaire au sort le 11 novembre à 22h, puis je contacterai le/la gagnant(e). N’oubliez donc pas de me laisser un moyen de vous contacter (l’adresse de votre site comportant une page contact, votre mail, votre facebook etc…) afin d’obtenir votre adresse et vous envoyer le jeu de cartes.
Bonne chance à tous !
Le clin d’oeil Splinter et aux tortues ninja dans les égouts ♥
Difficile de n’extraire qu’une seule chose de ce jeu : entre la quête « Tortues Ninja », le surnom donné par Jack à son « étalon » que j’ai pris l’habitude de mentionner entre amis geek, le vol de l00t en coop’ et un ClapTrap survolté, il y a de quoi bien bien rire…
En tout cas, superbe article !
Mon truc préféré dans Borderland 2? Ma coop avec mon pote haha.
Sérieusement, « étalon du cul » m’a fait rire comme pas permis.
La référence à Doctor Who (A sanctuary, un homme tape un rythme sur un mur, c’est celui du Master)
Les armes qui nous insultes ou qui hurlent.
La référence à Skyrim (« J’ai pris une balle dans le genoux »)
Cet univers décapant et coloré, blindé de référence, d’humour, c’est tout ça qui m’a fait adorer Borderland 2.
Bonjour, très bon test et merci pour ce concours.
Ce que j’ai préférer? Hum… Je dirais.. Rien du tout!
En effet je n’ai ni jouer au premier, ni au second donc pas facile d’aimer quelque chose, mais si je devais choisir, je dirais que j’aime ton test, oui car ton test ma carrément donner envie de l’essayer et de moi même découvrir ses mystères et référence!
A bientôt
Il y a plein d’éléments qui me font adorer Borderlands, rien que les textures qui sont à se damner et l’humour « subtile » du jeu…
Pour citer un passage en particulier qui m’a fait rire (surtout que j’étais en présence de ma coupine ♥), c’est le poème de déclaration d’amour de Scooter pour une jeune demoiselle qui à sa façon de lui répondre…
Voilou merci pour le concours les cartes sont superbes ! ^^
Et comme les concepteurs sont vraiment les meilleurs, ils viennent de mettre en ligne une excellente vidéo avec ClapTrap
https://www.facebook.com/photo.php?v=10151152575269081
Mais les Claptraps bien sûrs ! Qui justifient à eux seuls tout l’univers, l’humour et la techno à 2 balles ^^
YA CLAP TRAP QUI FAIT DU DUBSTEP.
PUTAIN MAIS IL FAUT WUB WUB WUB WUB.
PUIS IL DIT STOP.
ET WUB WUB WUB.
J’ai préféré… Euh… TOUT o/
Si je dois sortir 1 seul truc c’est la ville volante, j’aime bien l’idée de la ville volante
Les commentaires ou les petites phrases descriptives en rouge sur certaines armes légendaires ou récompenses de quête. Certaines passent inaperçues, mais il y a pas mal de références dedans (comme un lance roquettes qui affiche « Nec pluribus impar, bitches » en référence à Louis XIV ou « Dodge This » qui rappelle Matrix), on sent vraiment que les devs n’ont oublié aucun détail, ni aucune opportunité de mettre un truc drôle ou idiot.
Mais ce que j’ai préféré, c’est le personnage d’Handsome Jack. Alors pour info, j’ai le jeu en VO, mais dans sa voix, on sent immédiatement le personnage très intelligent, mais désinvolte, irrévérencieux, misandre et cynique. Personnage qui perd de son humour au fil du jeu pour laisser gagner sa rage, ce qui le rend d’autant plus dangereux mais également charismatique. C’est un vrai méchant, bien étudié: Ses méthodes sont iniques, mais il se bat pour une quête qu’il croit noble, quête qu’il justifie d’autant plus qu’elle met en avant sa gloire personnelle au delà de l’objectif principal de nettoyer Pandora pour, selon lui, « un avenir meilleur ». Il est juste, dans son rôle, parfait.
Bonjour,
j’aime tout dans ce jeu, mais surtout l’humour. C’est très bien dosé. Les graphismes façon BD rajoute aussi un bon effet.
Merci beaucoup
Franchement le clin d’oeil aux Tortues Ninja j’ai bien aimé
Je vais pas être original en disant que ce que je préfère c’est Jack qui vient nous raconter des phrases inutiles en plein combat. Mais l’humour en général est aussi un très très gros point fort !
Borderlands 2 c juste Borderlands 1 en 2 fois mieux !!
2 fois plus d’humour , 2 fois plus de fun, 2 fois plus de baston délire !!!
Bref 2 fois plus de plaisir de jouer !!!
Merci à tous d’avoir participé
Mais c’est Tatoo qui remporte le jeu de cartes
Le hasard en a décidé ainsi.
Je t’envoie un mail tout de suite, pour te demander tes coordonnées postales ( sous réserves que l’adresse mail que tu aies indiquée sois bonne
)
J’ai joué au premier, pas encore au second, mais ta critique du jeu est vraiment agréable a lire! Et ça fait plaisir de lire l’expérience de qqn qui a vraiment fouillé le jeu et profité de ses détails
Borderlands 2 un amas de petites phrases épiques à mourir de rire et une ambiance déjantée soutenue par des personnages inoubliables. Non Borderlands 2 est tout sauf un DLC et il présente d’ailleurs un scénario bien plus poussé que celui de son prédécesseur (qui tout de même était un peu creux, voire bâclé sur la fin). Durée de vie plus que satisfaisante qui plus est et ce même en rushant la quête principale. Bref je l’aime et je suis heureuse de lire cet article complet à son sujet.