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[Dossier] God of War Collection
God of War Collection
A l’occasion de la sortie de God of War III, Sony Santa Monica avait eu l’excellente idée de ressortir de ses cartons les épisodes précédents, sortis sur PS2, et de les réediter en refonte HD. Une édition collector, regroupant les trois opus avait même vu le jour, sous le nom de Pandora’s Box. Sachez d’ailleurs que si vous êtes un des possesseurs de cette boîte, je vous hais cordialement.
Cette édition en nombre très limité a été prise d’assaut, et je comprends parfaitement pourquoi.
Quoi qu’il en soit, je suis heureuse que mon compagnon soit un gamer. Parce que sans lui et son obsession quasi viscérale lors de la sortie du 3, je n’aurais jamais joué à God of War. Ce qui, rétrospectivement, eut été une perte immense…
God of War Collection, ainsi que je vous l’ai notifié précédemment, regroupe deux jeux. Plutôt que d’en faire une review brève, eu égard aux qualités qu’ils possèdent chacun, je vais, encore, faire un magnifique pavé, encore un truc plein de lettres placées au hasard que personne ne va lire tellement c’est imbitable. Direction la première partie, bande d’insolents.
Il y a des choses, comme ça, qui vous font vibrer, sans trop savoir pourquoi, si ne n’est la volonté manifeste de l’auteur d’exalter les sentiments. C’est, basiquement, la fonction de la tragédie antique, qui mettait en scène des personnages héroïques, mythiques, et divins. Si je vous ennuie avec mes cours de civilisation, vous le dites, hein. Non ? Parfait ! Chut, là-bas au fond !
Ce genre de tragédie repose en partie sur une tonalité dite « épique », qui donne à voir des héros surhumains en sublimant des situations et des comportements, par l’utilisation d’hyperboles, de superlatifs, d’emphases. Homère, le poète, a usé de cette tonalité pour chanter ses épopées, l’Illiade, et l’Odyssée. Tout, dans cette mesure, doit permettre de marquer l’impression de violence et de puissance. Bien souvent, le destin des personnages est déjà écrit, ajoutant encore une dose de pathétique à l’ensemble.
En outre, la tragédie grecque trouvait ses origines dans un culte religieux, car elle se devait de rendre hommage à certaines divinités du Panthéon, dont Dionysos ou Athéna. Elles se jouaient dans des amphithéâtres, accompagnées par des chœurs.
Là, je vous vois décrocher, et vous dire, en votre fort intérieur que franchement, je suis lourde, et que vous ne voyez pas le rapport, et, ce faisant, arborer une tête de chouette effrayée.
OBJECTION !
Parce qu’il y a bien un rapport. Et c’est précisément ici que le studio américain a fait un travail extraordinaire. Oui, parce que la ré-exploitation des mythes, après tout, c’est pas tout neuf non plus, autant en arts qu’en JV. Il suffira de se souvenir de jeux comme la série des Final Fantasy ou de Valkyria Chronicles, peuplées de chimères, de Loki, de Freyja, d’Odin, de Gaïa, de Midgard… La mythologie mondiale est un réservoir quasi inépuisable d’inspiration pour les développeurs, autant en termes de références que de d’univers.
Le Santa Monica Studio a réussi ici à exploiter intelligemment tous les ressorts de la mythologie grecque, de la tragédie, et du registre épique. Si, si, je vous assure.
Dans God of War, vous incarnez Kratos, un chauve musculeux et tatoué, version gros, gros dur méchant, et vicieux, général de l’arme spartiate. Vous savez, les super hoplites de 300. Sauf que là, non, vous ne pourrez pas hurler « THIS IS SPARTAAAAAAA », même si Kratos grogne souvent.
Vous débutez l’aventure dans une bataille sanglante opposant votre armée à une horde de barbares, au cours de laquelle, Kratos, sur le point d’être vaincu par le chef velu des envahisseurs, invoque Arès, le dieu de la guerre, et lui promet de guerroyer en son nom s’il a l’obligeance de le sortir de cette inconfortable situation.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Cependant, l’appui des dieux est loin d’être gratuit, et Kratos devra payer son allégeance en mesures de chair et de sang. Et pas seulement ceux des ennemis d’Arès. Les hommes sont juste des pions à déplacer pour les divinités, et la vie de Kratos va prendre un tournant radical. Suite à un acte d’horreur absolue, Kratos sera maudit. Devenu bête humaine, il devra accomplir les basses besognes de ses orgueilleux patrons qui l’enverront au quatre coins de la Grèce affronter des épreuves de plus en plus périlleuses.
Ce qui frappe le plus dans cette refonte, c’est la qualité du passage à la HD. On note certes un léger flou pendant les cinématiques, mais elles restent superbes, surtout pour un titre qui déjà 5 ans, et tous les titres ne peuvent malheureusement pas s’en vanter. Ce flou est dû au fait que les cinématiques n’ont pas été retravaillées en HD, contrairement au reste du jeu. Autant vous dire que les dèv ont fait un travail au millipoil à l’origine. Certaines cinématiques emploient le thème « comic », par l’enchainement d’images fixes et le changement de perspective ou de plan, et par des liners, ce qui ajoute à l’ensemble beaucoup de qualité et d’esthétisme.
Les textures environnementales sont somptueuses, détaillées, très bien éclairées. Un accent tout particulier est d’ailleurs mis sur l’éclairage, qui est tout autant un personnage de l’histoire que Kratos, car il participe à l’hyperbolisme.
Je suis cependant un tout petit peu déçue au début, parce que le modélisme des personnes, ou des mobs, n’est au final pas si imposant que cela. Kratos est assez bien rendu, mais tout de même, y’a des fautes de proportions qu’on devrait pas se permettre… Parce que j’ai beau aimer faire mumuse avec Kratos, je n’en reste pas moins une femme, et je ne comprends pas ce besoin compulsif de présenter des pépées avec des obus de mortier 80mm à la place des seins. Outre cela, les vêtements n’ont pas de relief. Bon, soyons honnêtes cela étant, dans la mêlée, les vêtements et la définition des ennemis, ce n’est plus vraiment important. Et en même temps, je suis déçue, mais le jeu a été développé pour PS2, et du coup, forcément, les graphismes, même refondus, sont des graphismes PS2.
Comme dans tout beat’em all, vous avez un arsenal à votre disposition, comprenant des armes et des magies. Votre santé et votre magie sont rechargées par l’ouverture de coffres marqués par un omega luisant en vert ou en bleu. Pour booster votre équipement, vous aurez la possibilité de partir à la chasse au coffre rouge, qui vous octroiera des orbes de même couleur nécessaires à l’upgrade. Tout ceci reste assez classique.
Mais God of War dispose également d’un aspect jeu d’aventure/plateforme, qui vous demandera de grimper, enchainer des sauts, et résoudre des énigmes, parfois assez tordues et complexes dans leur réalisation pour arriver à vos fins et continuer votre cheminement. Des objets sont disséminés à travers le jeu pour vous permettre d’avancer. De plus, les dieux vous permettront d’acquérir de nouvelles compétences. Ils sont dirigistes, mais tout de même prêts à vous offrir une aide minimum.
La prise en main est assez simple pour qui est déjà un afficionado du beat’em all. On vous demande de pratiquer des combos en appuyant sur des touches formant des combinaisons, combinaisons qui vont en se complexifiant au fil des améliorations. Rien de nouveau sous le soleil. Si ce n’est la volonté du studio de faire de son titre un exemple de gore !
Et en effet, vous pourrez décapiter, arracher des membres, étriper, fracasser à loisir tout ennemi dont la sale gueule ne vous reviendra pas. Et comme Kratos déteste tout le monde, vous pouvez faire de tout le peuple de la charpie, si ça vous amuse ( même des civils innocents ). Et ce d’autant plus que voyez vous, en accomplissant une œuvre sanglante, vous remportez plus d’orbes rouges. C’est que c’est un véritable orfèvre de la mise à mort, le Kratos.
Sony Santa Monica n’a pas fait son titre en dépit du bon sens. Afin de sublimer l’aventure, tout est construit pour obtenir un effet emphatique. Ainsi, certains lieux, ou monstres, sont gigantesques ! A tel point qu’en comparaison, votre gros costaud à l’air d’un moustique rachitique. Dans ces conditions, une seule solution : le QTE ! Eh oui, parce que c’est tellement énorme qu’il faut bien que votre petit Kratos fasse des dégâts plus important qu’un simple pet de mouche. C’est pourquoi, en bon matamore, vous devrez achever vos ennemis à grands coups de carré/croix/triangle/rond, ou au contraire, vous sortir d’une prise de sumo en appuyant frénétiquement sur une touche. Alors, on ne vous demande pas d’être violoniste, mais entraînez vos doigts !
Une chose m’a choquée dans ce jeu. Sa difficulté ! Je ne m’attendais pas du tout à ce que certaines énigmes, certains combats, ou certaines situations ( je me souviens d’une certaine colonne qui m’en a fait baver ) soient si durs ! Il ne suffit pas de juste taper en cadence des touches ?! Eh bien non, et c’est tant mieux. D’ailleurs, plus vous mourez, et mieux vous êtes récompensés, un trophée étant attribué si vous mourez tellement de fois que le CPU doive vous proposer le mode facile… ( la honte quoi ). J’ai passé quelques heures à galérer, mais pas en combat, ou moins, sauf boss particulièrement coriace. Cette difficulté est justement un des aspects positifs du jeu.
Parce que ça énerve. Parce que du coup, vous ne voulez pas lâcher votre pad, vous avez un méchant pas beau à débiter en stères, nom d’une pipe en bois ! Et on revient à mon hyperbole dans l’aspect épique… parce qu’à force de vous prendre la tête, vous finissez par trembler autant qu’un Parkinson de dernier stade ! Preuve s’il en était que ce jeu fonctionne particulièrement efficacement sur le mode cathartique. Comme Kratos, vous vous nourrissez pendant le jeu de doses d’adrénaline. God of War c’est pas un jeu pour fillettes ! Notez que j’ai dit « fillette », et pas « nanas ». Plus de 18 ans, je vous le rappelle, PEGI justifié par la violence des scènes, et par la sexualité que les développeurs vous oblige à avoir, pour un trophée.
Je me suis régalée sur God of War, j’ai vécu le truc, vraiment. C’était dur, j’en ai chié, mais une fois terminé, on n’attend plus qu’une chose : la suite ! Parce que le studio a fait les choses bien en proposant une fin en queue de poisson préservant le suspens pour la suite…
Vous reprenez Kratos en main juste au moment où vous l’aviez laissé en finissant le premier volet de ses aventures saignantes et suintantes. Je ne spoilerai pas, le but étant de vous convaincre de jouer, mais sachez que vous êtes mal, très, très mal barré. Tout fout l’camp ma bonne dame, et c’est vous qui en faites les frais, puisque c’est vous, l’homme honni. Vous vous retrouvez dans un marasme noir, avec… rien, si ce n’est votre haine absolue comme moteur. Il faut savoir une chose, Kratos reste un anti-héros, et accessoirement, le plus grand salopard que la terre ait jamais porté ! Et en plus, il ose s’accrocher à la vie comme une tique à un chien.
Et là, en plus, le gigantisme atteint des sommets, autant dans les environnements, que dans les monstres, ou dans le scénario. Oui, le scénario est chiadé. Au surplus, la musique est particulièrement épique, en(em-) phase totale avec l’action et les combats. Quand je vous disais que la construction de tout le jeu était magistrale…
Ce deuxième opus est encore plus détaillé, les textures sont bien plus fines, le jeu des lumière encore plus intense. Je vais finir par être à court de superlatifs moi…
Un léger bémol : la difficulté me semble bien moindre. Est-ce parce que j’ai pris le pli, ou bien le niveau a-t-il été repensé à la baisse… je me pose la question.
Pas de changements majeur côté gameplay, outre que certaines touches d’ouverture de portes, de panneaux, ou de coffres ont changé. Vous avez toujours des combinaisons de combo, des magies. Mais, vous disposez maintenant d’objets magiques, comme une arme à distance fort pratique et efficace, et votre jauge de « furie » peut se remplir par des orbes dorés et être déclenchée à n’importe quel moment, et arrêtée de même manière. C’est peut-être ça, au final, qui simplifie le jeu… ou pas.
Ce deuxième GOW est tout aussi efficace que le premier, toujours jouissif, toujours plus beau, du bonheur. Comme précédemment, l’aventure se termine sur un goût de trop peu préparant l’opus suivant. Qui a dit que Sony Santa Monica ne s’y entendait pas en marketing du manque ?
Concernant l’édition en elle-même, il faut vraiment rendre hommage au studio qui s’est cassé le cul pour offrir des bonus, qui ne sont pas insignifiants, ou qui se réduisent à peau de chagrin.
Il peut aussi bien s’agir d’objets à collecter en cours d’aventure et déblocables sur une partie en mode hard, que de vidéos de production ou de post-production, ou de bonus sur les aspects cachés de Kratos, ou d’un mode de défis. En fonction de la difficulté choisie pour terminer le jeu, vous n’avez accès qu’à un certain nombre de bonus, ce qui vous oblige à recommencer dans une difficulté plus élevée.
En plus de tout ceci, les deux jeux tiennent sur un seul disque, ce qui limite l’encombrement dans la ludothèque.
Sincèrement, aucune raison de regretter l’achat de cette édition.
Infos :
Plateforme(s) : PS3(exclu)
Catégorie : Beat’em all / Plateforme / Gore / Épique !
Date de sortie Fr : 28/04/10
Classification : 18+
Les Plus :
- Le soucis esthétique
- L’univers prenant et bien recyclé
- Le charisme de Kratos
- Le scénario rondement mené
- L’aspect défouloir des titres
- Les bonus très intéressants
- Fluidité des mouvements en combat
Les Moins :
- Petits soucis de proportions sur les personnages féminins
- On perd parfois Kratos dans la foule…
Note globale : note 18,5/20
Il est amusant de voir que tu sembles apprécier la mythologie et que tu ne grondes pas devant ce que lui inflige God of War. Personnellement je m’en fiche royalement, mais je connais des personnes qui haïssent véritablement ce jeu (en partie) pour cette raison. Ceci dit, je n’aime pas spécialement cette saga pour tout un tas de raisons que je vais expliquer.
Tu soulignes la tonalité épique de l’aventure et je suis tout à fait d’accord avec toi. Je dirais même que c’est le gros point fort du jeu (le seul ? Non, il y a les musiques). En réalité, heureusement que le jeu est spectaculaire car le reste me rend véritablement dingue. Pour information, j’ai fait le jeu pour la première fois dans sa version Collection justement, à la fin de l’année dernière (en version US). Et je ne comprends pas l’engouement autour de cette série, et surtout pour ce « remake ».
C’est quoi pour moi God of War ? Un jeu aux mécaniques terriblement datées et fades. On avances dans une pièce, des ennemis apparaissent, on martèle le même bouton pour les tuer, le chemin est libre, on passe à la pièce suivante, on ouvre les coffres, on résout une énigme pour neuneus (vraiment), on passe à la pièce suivante, des ennemis apparaissent et ainsi de suite, pendant une dizaine d’heure. Mais MON DIEU QUOI ! C’est terrible de voir comment le jeu vidéo a évolué en cinq ans. Alors il y aura toujours les « connards de retrogamers » qui diront : « Non mais c’est ça, un beat’em all ». Bah c’est peut-être ça un beat’em all selon vous les gars, mais c’est sûrement pas ça un (bon) jeu vidéo en 2010.
Si God of War était une réussite au milieu des années 2000, je trouve qu’il n’a plus grand intérêt aujourd’hui. C’est même la fin d’une recette selon moi. Une recette qui a fonctionné pendant près de dix ans. Il est même temps que la série s’arrête (ce qui n’arrivera pas, hélas) car dans un excès de masochisme j’ai également fini l’opus PSP et joué à l’opus PS3. Pas ou peu de changements en quatre opus… un constat qui m’a achevé.
Sinon j’ai pris beaucoup de plaisir à te lire car c’est véritablement bien écrit.
PS : les cinématiques ne sont pas « légèrement floues », elle sont vraiment dégueulasses, tu peux le dire. Haha
Je ne vois pas en quoi cette relecture de la mythologie grecque serait pire que La guerre de Troie n’aura pas lieu, ou que Les Mouches, ou encore que 300 ou Alexandre.
Chacune de ces réecriture a malgré tout une spécificité propre, et elle s’éloigne effectivement de la référence originale, pour ses besoins. Fondamentalement, je ne vois pas l’intérêt de reproduire le schéma à l’identique. Alors oui, cette relecture est intéressante.
Ce n’est pas un remake, mais une refonte graphique. Rien n’a été changé par rapport aux épisodes sortis sur la console précédente que ce soit sur le scénario ou le gameplay. Bluepoint game a passé un filtre HD, et ajouté des bonus ( dont les succès ), mais c’est tout.
Sûrement pas un bon jeu en 2010 ? Tu aurais la gentillesse de me dire qu’elles sont les différences que tu fais entre les God of War I&II, et un Bayonetta ? Un Dante’s Inferno ? Un Darksiders ? Tu ne parcoures pas les mêmes couloirs ? Tu ne butes pas les mêmes hordes de mobs pour passer ? Tu n’as pas affaire au mêmes énigmes ? Et que dire d’un Devil May Cry ? Oui, ce sont tous des jeux calibrés beat’em all.
Où est l’évolution ? La question est alors de savoir ce qui fait un bon Beat’em All en 2010, et pas un « bon jeu ». Or, GoW I&II ne sont pas de 2010, il faut donc comparer avec l’opus III. Et entre Bayonetta et GoW III… je choisis le second sans la moindre hésitation.
Tu reproches quand même à God of War ce que tu pourrais tout autant reprocher à Devil May Cry. C’est quoi la différence ? C’est mieux quand c’est japonais ?
L’engouement joue certainement sur le fait que beaucoup de gamers aiment rejouer à des jeux sur lesquels ils ont passé une paire d’heure étant plus jeunes. Et les dèv l’ont compris, puisque toute une armada de jeux « old school » vont être soit refondus, soit remis au goût du jour sur diverses consoles. C’est en tous les cas ce qui est ressorti à l’E3. Je t’avoue que je ne verrais pas d’un mauvais oeil une réadapt de jeux comme Parasite Eve ou Silent Hill 1, ou même des Fallout. Parce qu’il faut être honnête, même si tu as gardé ces jeux et la console qui les supporte, joues-y maintenant, tu es bon pour un joli saignement rétinien.
En plus de ça, beaucoup te diront : « c’était mieux avant ».
Ce n’est pas ma position, mais j’ai apprécié GoW.
hahhahahah mdr le choc cataclismique entre vous c’est fous ^^’
Bin au moins, y’a de l’action ici ! ^^
Kanzen >>>
Je n’ai pas dit que la relecture ne me plaisait pas : j’ai dit que je m’en foutais mais que d’autres n’étaient pas DU TOUT de cet avis. C’est tout.
De même, j’ai bien mis le mot remake entre guillemets, donc pas la peine de me faire un cours (haha). Et à vrai dire peut-on parler de simple portage lorsqu’un film HD est appliqué et que des bonus sont ajoutés ? Je ne pense pas. Bref, en fait on s’en branle de ça (ou du moins MOI je m’en branle).
Pour ce qui est des jeux que tu cites et histoire que t’aies mon avis qui, tu vas le voir, est cohérent :
Bayonetta : je suis dessus en ce moment, sympa mais je ne comprends pas le buzz autour.
Dante’s Inferno : c’est de la GROSSE merde (God of War en pire).
Darksiders : c’est très bof.
Devil May Cry : c’était génial en 2001, maintenant…
Autrement dit, ne crois pas que ma critique va dans un seul sens. Je ne considère pas Devil May Cry meilleur que God of War. En fait le problème est le même pour les deux : ce sont des jeux qui étaient excellents en leurs temps (2001 et 2005). Devil May Cry 4 fut une énorme déception pour moi puisque la licence stagne (comme God of War). Je te rappelle également ce que j’avais dit : pour moi God of War marque la fin d’une recette de dix ans d’âge (milieu/fin des année 90 on va dire) et tu peux aisément mettre Devil May Cry dans cet catégorie.
Entre Bayonetta et God of War 3, je choisis sans hésiter Bayonetta. Et pourtant je suis loin d’être fan du jeu. A vrai dire, c’est simplement une repompe TOTALE de Devil May Cry (il suffit de mettre Dante à la place de Bayonetta) sauf que Hideki Kamiya a eu la bonne idée de changer son système de combat qui commençait sérieusement à dater. Enfin bref, c’est un peu me demander de choisir entre le moins pire des deux…
Pour ce qui est des vieux jeux remis au goût du jour, tout dépend de ce que tu entends par là. Est-ce que l’avenir du jeu vidéo c’est de me taper un Donkey Kong Country quasi identique à la saga d’origine (presque 20 ans) en 2010 ? Non selon moi. Je suis un mec qui aime voir plus loin que dans le passé. Mais bon, c’est l’industrie qui veut ça (et les joueurs surtout).
Et non, le jeu vidéo c’était pas mieux avant.
Kasilla >>>
Ouais, ça blague pas ici. Et ça drague pas non plus.
PS : oui, j’ai un coeur de pierre, je sais. Haha
Bayonetta > c’est pour les lunettes de cochonnes… et sa tenue en latex !
Ensuite, je vois pas pourquoi tu débats Griffith, tu ne « sembles » pas du tout apprécier les beat’em all, à partir de là, quoi qu’on te propose tu n’aimeras pas.
PS : on ne dit pas ‘c’est de la merde’ mais ‘ce n’est pas à mon goût’
Non non, je t’assure qu’on peut dire que c’est de la merde quand on argumente (tant bien que mal). J’emmerde les phrases toutes faites du genre « chacun ses goûts » ou « c’est la vie ».
Et si, j’aime bien les beat’em all et autres jeux d’action qui défoulent, justement.
Je suis curieuse de les connaître…
Ah la la … comme on dit chacun c’est goût et puis après tout c’est la vie !!!
Je connais la sortie ^^
J’en viens à me dire que tu ne lis pas ce que j’écris. Tu as trouvé étrange que la relecture ne m’ait pas gênée, je t’explique pourquoi et tu ramènes à toi : « Il est amusant de voir que tu sembles apprécier la mythologie et que tu ne grondes pas devant ce que lui inflige God of War ». Non, je ne gronde pas, et tant pis pour les grincheux traditionalistes.
Parle de portage si ça te fait plaisir, après tout, on est bien passé d’une console à une autre. S’il faut en plus après un débat sémantique aïgu, on va pas s’en sortir.
Traiter les jeux par une échelle scatophile, je ne vois pas la cohérence. Outre le fait que ce ne soient pas des arguments. Marrant, tu n’as pas parlé de GoW III…
J’avais pourtant laissé la porte ouverte.
Rien que pour t’emmerder, je pense faire un article sur Heavenly Sword.
Personnellement, Bayonetta ne me fait pas bander, et pour cause. Kratos non plus, je suis normale, merci. Mais, je trouve à God of War plus de qualités intrinsèques.
La mécanique du beat’em all reste celle d’un beat’em all. Très compartimentée, et les petits geeks n’en perdent pas leur latin. Sinon, c’est une horde de gamers en folie qui viendraient frapper aux portes des studios de dèv. Imagine le borsal.
Donkey Kong, je suis loin d’être fan, et je n’aime pas Nintendo. Ça c’est dit, lapidez-moi o/
Pour la drague, j’ai envie de dire : ouf.
Non tu n’as pas le droit, Donkey Kong country c’est mon meilleur souvenir de la Snes ^^
LLyza >>> Alors LLyza…
Si on parle de cette génération de consoles, en effet je n’aime pas grand chose vu que, à l’instar du RPG, ce genre stagne depuis 15 ans et ça me gonfle. Néanmoins, je considère Dead Rising comme un des bijoux de cette génération de console, car il se sert de son univers pour offrir au joueur quelque chose de nouveau qui n’aurait PAS été faisable sur les plate-formes antérieures. Il faut dire que j’adore les zombies. A part cela, j’ai trouvé Ninja Gaiden 2 sympa (SANS PLUS), probablement pour sa violence et mon côté masochiste. Je trouve également Bayonetta sympa, comme je le disais plus haut. Sinon il n’y a rien à l’exception des jeux du Xbox Live/PSN (Castle Crushers, etc.).
En restant dans l’air de la 3D et en nous replaçant à la sorties des jeux en question, j’ai également aimé le premier Devil May Cry (presque révolutionnaire en son temps) ou des jeux comme Drakengard (absolument kiffant à l’époque). Mais mon plus grand bonheur reste sans doute l’adaptation du manga Berserk sur PlayStation 2 (je suis un grand fan de cette oeuvre).
Voilà pour un léger aperçu. Bien sûr, j’aurais pu t’en citer d’autres de l’ère PS2 mais je n’ai dis que les plus marquants à mon goût. Pareillement, j’exclue les truc trop vieux et complètement obsolètes aujourd’hui (n’en déplaise à certains).
Kanzen >>>
Haha. Je n’aime pas les jeux que tu cites et je ne fais pas grande différence entre eux et God of War, ce que tu n’avais pas prévu visiblement, d’où la cohérence. Mais ça, je sais que tu l’avais très bien compris.
Pourquoi je parlerais de God of War 3 vu qu’il n’y a rien qui change par rapport aux autres ? Ça serait un peu comme parler de Devil May Cry 4 (ah si, lui il a le mauvais goûts de nous refaire parcourir les niveaux).
« Sinon, c’est une horde de gamers en folie qui viendraient frapper aux portes des studios de dèv. Imagine le borsal. »
Je sais, c’est ce que j’ai dit et c’est bien là le problème. Les gamers freine l’évolution du média en se complaisant sans cesse dans le passé.
Greg92 >>>
« Non tu n’as pas le droit, Donkey Kong country c’est mon meilleur souvenir de la Snes ^^ »
Ah mais c’est un de mes meilleurs souvenirs également. Maintenant j’aimerais bien qu’on arrête de se foutre de ma gueule en me ressortant un jeu quasi identique à celui d’il y a 20 ans… Et le pire, c’est que tous les retrogamers se branlent dessus. Je te rassure quand même : je vais sûrement apprécier de retrouver Donkey Kong, mais j’espérais un autre retour.
Pour Donkey Kong country return de la mort qui tue machin bidule, ça sera de toute façon sans moi. Je n’ai pas de Wii et je ne compte pas en acheter une (j’ai déjà une Gamecube ^^), même si le new Metroid me fait du pied.
petite paranthese je recherche d compagnons darmes sur castle crusher et les metal slug (live 360 ^^) merci ^^
PS =====> fin de paranthese ui je c les beat em all sont speciaux et je ne pensai pa voir un jour sortir dead rising ^^
OVATION a toi ma deesse mdr ^^’ dsl je memporte mai ce jeu est tellement …. (pas de mots) que voila ^^ il est libre aussi bien ds le scenario que dans les armes disponible ^^ dailleurs jattend le second opus pour linstan rien a se mettre sou la dent seulement d videos dc d que la demo sor on attaque lol
beat em all a lancienne javai bien aimer street of rage pr se defouler mais sinon san plus ^^
Phantom >>>
« OVATION à toi ma déesse »
Euh… Tu parles de qui là ?
Pas à la Déesse de l’orthographe (oui je sais Hôpital, charité tout ça ^^ )
Il parle de toi Griffith !
Change ton pseudo en Casca !
Ok, c’est bien ce que je me disais… Donc Phantom je suis un homme, UN HOMME.
(Manquerait plus qu’il me drague, le bougre… Haha)
Non mais Griffith avais raison c’était mieux avant ^^ Vive street of rage d’abord :p remarque peut être trop actuel la 16 bit… y avait du beat’em all sur atari ? ou a la limite sur master system?? a bin oui voilà Double dragon ^^ ça c’était du jeu qui claquais :p
(Mieux que ton Donkey kong pourris greg :p)
DrJackal >>>
Toi, visiblement, tu n’as pas bien compris mes posts…
Je n’ai pas dit que le beat’em all était mieux avant mais plutôt que le genre stagne. Autrement dit, les beat’em all d’aujourd’hui reprennent une structure et des mécanismes complètement dépassés. De là à dire que je préfère les anciens jeux, je n’irai pas jusque là. Il faut savoir vivre avec son temps et je ne suis pas de ceux qui se masturbent sur leur passé, la nostalgie et encore moins sur les beat’em all de l’ère 2D. Je considère que la 3D a véritablement bouleversé le média en terme de graphisme mais aussi et surtout en terme de jeu. C’est pourquoi, selon moi, 90% des jeux précédent l’arrivée de la 3D n’ont absolument AUCUN intérêt.
Street of Rage était génial à l’époque de sa sortie sur MegaDrive mais n’a plus aucun intérêt de nos jour (si on excepte l’aspect nostalgique). Je regrette même d’y avoir rejoué tant je suis redescendu sur terre. D’ailleurs, propose à un gamin de 12 ans de choisir entre Street of Rage et n’importe qu’elle beat’em all 3D (un Dynastie Warrior par exemple), même mauvais, et tu verras qu’il laissera rapidement le premier sur la touche.
« bin oui voilà Double dragon ^^ ça c’était du jeu qui claquais :p
(Mieux que ton Donkey kong pourris greg :p) »
Justement, le jeu de plate-forme 2D fait assurément parti des 10% de jeux rétros qui conservent de l’intérêt de part leur principe, leur gameplay et leur level design. Ils font probablement partie des jeux qui ont le mieux subit le poids du temps. En plus le genre est presque aux abonnés absents de nos jours. Personnellement, je préférerai toujours me refaire Donkey Kong Country plutôt que ce vieux Double Dragon.
Greg92 >>>
J’avais oublié de dire que ta remarque sur la « Déesse de l’orthographe » m’avait fait rire. Haha : )
Griffith, c’est pas se que tu décrit plus haut ou tu clame clairement un c’était mieux avant (moins les graphismes évidement) dans le principe je suis d’accord sur le fait que en effet ça se renouvelle moins qu’avant maintenant le principe de se type de jeu c’est : on est un et on poutre tout le reste de l’humanité présente.
L’évolution du jeu depuis street of rage est la même a part la 3D qui a permis une MAP plus grande, et l’augmentation de la mémoire permettant plus de vilain et une durée de vie plus longue… après que se soit le game play ou le but c’est du pareil au même…
En quoi God of war est différents des autres? ba sur la forme en rien, sur le fond, base historique qui se tienne dans l’ensemble, un choix d’arme qui est plutôt original, et un sentiment d’être la fourmis qui démonte la gueule au semi remorque qui passe par la ça a quand même un coté jouissif…
Après quelque soit le genre de jeu ça a tendance a stagner ses dernier temps, ça va reviendre mais en ce moment tout le monde se concentre sur le côté 3D et faire comme la wii.
griffith
ba stu veux OVATION toi mon dieu mdr ^^’ et nn je ne drague personne mdr ^^’ que tu soi une fille ou un homme mdr ^^
je sui pas sur le forum pr sa mais pour les jeux (accessoirement avoir d contact ac qui jouer) mai sa sarrete la ^^
DrJackal >>>
Non. J’ai dit que Devil May Cry et, dans une moindre mesure, God of War étaient biens en leur temps. Ne confonds pas tout. J’ai clairement dit que je ne vivais pas dans le passé et ce pour une simple raison : l’évolution technique. Contrairement à plein de personnes nunuches, je clame au et fort que ça compte. Si tu préfères, le beat’em all était mieux il y a dix ans, si tu veux, mais c’est pas pour autant que je vais retourner jouer à Devil May Cry premier du nom et me faire de la peine. Ma nostalgie je l’ai, j’y tiens, et c’est pas pour autant que je vais la briser en me persuadant que le jeu vaut toujours quelque chose aujourd’hui. C’est bien mon problème avec ce God of War Collection.
Pour ce qui est de ta remarque sur l’évolution du genre, ne confonds pas principe et évolution. Le principe du beat’em all et de buter tout le monde (comme son nom l’indique), mais tu ne peux nier que la 3D a bouleversé le genre. Comme tu le dis : les maps sont plus grandes et les ennemis infiniment plus nombreux. A cela, on peut ajouter les évolution de gameplay : comme la disposition de la caméra, l’abondance de combos (qui n’a rien à voir avec l’ère 2D) et ainsi de suite. Le souci c’est que depuis plus de 10 ans le genre n’a pas subit d’évolution(s) majeure(s).
Dans cette vague de banalité, Dead Rising m’a impressionné. Pourquoi ? L’environnement ouvert de ce jeu ainsi que la liberté offerte au joueur (en matière de narration, de décision ou de gameplay/armes) servent PARFAITEMENT l’immersion du soft. Un sentiment renforcée par le nombre d’ennemis pouvant être affichés à l’écran (pouvant atteindre une centaine de protagonistes). Je pourrais également parler de son système de sauvegarde ingénieux puisque calqué sur la réalité, ou du moins sur le film dont il s’inspire. Bref, si on excepte l’aspect RPG présent dans certains beat’em all de la génération précédente (Drakengard, Chaos Legion, etc.), Dead Rising est le seul jeu du genre qui sort des sentiers battus.
Pour ce qui est de God of War, je n’ai pas nié le côté spectaculaire du soft. J’ai même dis que c’était son point fort. En revanche, le reste c’est du vu, revu et rerevu. Les armes plutôt originales ? Identiques à celles de tout beat’em all tu veux dire, tout comme le système d’améliorations d’ailleurs. C’est bien la différence entre un Devil May Cry presque révolutionnaire en son temps et un jeu « best of » comme God of War, qui se contente de piocher le meilleur de ce qui existe déjà dans sa catégorie.
Phantom >>>
« ba stu veux OVATION toi mon dieu »
Ça me plaît ça, mais la satisfaction ultime viendra quand ça sortira du clavier de Kanzen. Haha
« ba stu veux OVATION toi mon dieu »
Ça me plaît ça, mais la satisfaction ultime viendra quand ça sortira du clavier de Kanzen. Haha Alors là, Tu peux te brosser Martine :p
Euh Drakengard n’est pas un beat, mais un RPG action…
« Ça me plaît ça, mais la satisfaction ultime viendra quand ça sortira du clavier de Kanzen. Haha » –> là, je vais me permettre un « there’s no fuckin’ way ».
Mais bon, continue à rêver, c’est un bon moteur dans la vie ^^
Bah c’est la joie des classifications de jeux. Certains te classeront Drakengard comme un Action-RPG tout comme d’autres te diront que Devil May Cry et God of War ne sont que des jeux d’action. Ceci dit, je pense qu’en dehors de son système d’expérience Drakengard a absolument tout du beat’em all et s’apparente presque complètement à un Dynastie Warrior, d’où le fait que je le cite en tant que tel.
Mais bon, c’est un débat sans fin le genre des jeux. Bioshock en est le meilleur exemple.
Et c’était de l’humour ma dernière phrase les filles. Uhuh
T’as bien fait de le préciser, j’l'avais pas remarqué, tient.
On sait jamais.
Fallait préciser, on est blondes.
Griffith, merci
C’est agréable de te lire, puis Kanzen qui part au quart de tour… c’est assez jouissif ! Vivement son prochain test !
Faudrait expliquer à Phantom la différence entre un forum et des commentaires ^^
Ah mais j’aime bien commenter vos articles et taquiner Kanzen (haha). En plus elle a pas de chance (ou elle en a, ça dépend du point de vue) : elle semble se charger de pas mal de jeux dont le buzz m’énerve et dont la réputation m’indigne.
Faux, je fais les jeux que j’aime. Mais y’en a encore plein qui vont t’énerver alors ^^
fait gaffe Griffith, kanzen c’est une sadique ^^
Greg92 >>>
« fait gaffe Griffith, kanzen c’est une sadique ^^ »
Je le sais et ça se voit dans certains de ses goûts d’ailleurs.
Et pour ce qui est de ta remarque sur Phantom : boarf, moi aussi je fais du HS parfois mais je pense que les filles s’en foutent vu que ça leur fait des commentaires.
Kanzen >>>
Encore heureux que tu fasses les jeux que t’aimes, mais je voulais dire que nos goûts diffèrent sur certains (gros) points, si tu préfères. Et j’aime bien quand on m’énerve, enfin ce genre d’énervement on va dire.
‘tin, on vient de pulvériser le record de commentaires sur un même article !
J’ai dû changer les règles d’affichage pour avoir tout sur une seule page dit donc ; )
Happy !!! ^^
Merci c’est plus agréable à lire du coup
Griffith, attention c’est teigneux une fille , tu ne peux pas gagner (ou tu fais semblant de perdre)
« Et j’aime bien quand on m’énerve, enfin ce genre d’énervement on va dire. »
Tant mieux, je continuerai !
Citation Grifiith : Et pour ce qui est de ta remarque sur Phantom : boarf, moi aussi je fais du HS parfois mais je pense que les filles s’en foutent vu que ça leur fait des commentaires.
> ce qui dérange c’est pas le HS mais l’ortho qui pique les yeux…
+1 pour le kinder
Sinon, un petit lien qui ravira, j’en suis certaine, Griffith, même si je pense qu’il l’a déjà vu.
http://www.youtube.com/watch?v=Cf1zNtZEcc8
Parce que depuis l’E3, on sait que Sony Santa Monica n’en a pas terminé avec le fantôme de Sparte sur PSP.
LLyza >>>
« ce qui dérange c’est pas le HS mais l’ortho qui pique les yeux… »
Certes c’est désagréable, mais bon on ne va pas le tuer pour autant, si ? Quoique… je suis sur que Kanzen s’en chargerait à merveille. Uhuh
Kanzen >>>
J’avais vu des screens mais je n’avais pas vu la vidéo. Déjà que je ne regarde pas forcément celles des jeux qui m’intéressent… Ce volet a l’air très très original en tout cas. :ironique: Haha
Je savais que ça te plairait
Tiens, t’as l’air plus souriante que d’habitude. T’es malade ? Uhuh
Mais il est tout vénère ce Griffith on dirais Kratos ^^
La trilogie n’est adressé qu’aux retro-gamer qui ne peuvent plus jouer aux volets 1 et 2 sur PS3…
Malheureusement cette retouche « HD » est particulièrement fade et ne convient pas à tout les goût (beurk le filtre à la cartoon shading).
Bref une reprise raté selon moi qui conviendras peut-être à ceux qui ont fait le 3 et qui veulent tester le 1 & 2 ou aux nostalgique vraiment pas difficile du tout (je préfère le refaire sur PS2 que cette version PS3 remake bizarre et pas HD du tout du tout)
Cependant à l’époque où ils sont sortis respectivement, le Time-Event du 1er volet, l’ambiance, la musique, les décors et la brutalité des combats était innovant (en France du moins).
Deux ans plus tard j’arrive et je lis le dossier haha. J’ai bien aimé te lire
. J’ai commencé à lire les commentaires mais j’ai vite abandonné, c’est mal.
.
Bon j’ai vu que ça parlait de DMC, le premier était tellement bon parce bien dosé et parce que Dante est classe. Il y avait un équilibre entre le personnage principal et le reste du jeu, et pas une dépendance du jeu envers Dante que j’ai retrouvé en jouant surtout au deuxième épisode. Tout ça pour dire qu’à certains moments j’avais l’impression qu’il en était de même pour GoW. J’avais bien aimé le premier, j’ai adoré le deuxième (fin de jeu jouissive x) et l’excitation est retombée avec le troisième volet parce que fin quelque peu décevante et l’aspect répétitif du gameplay était beaucoup moins camouflée que dans le deuxième volet par exemple.
GoW reste cela dit une de mes sagas de coeur tout comme DMC ou MGS